PILGRIM était atteint d’une Ostéosarcome grave sur son bassin. Malgré tous les soins vétérinaires, il n'y a rien eu à faire. Son origine est inconnue car ce chien était régulièrement suivi par le vétérinaire ainsi qu'une hygiène de vie exemplaire. J’ai même laissé de ma santé pour son bien-être tout au long de sa vie.
PILGRIM s'est éteint lundi 15 mai 2017 à 11h30 par nécessité médicale dans mes bras en lui faisant croire à un contrôle vétérinaire banal. Me situant derrière lui pour le tenir, sa tête à basculé doucement sur mon bras gauche. J’ai attendu que ses yeux soient révulsés et au bout de 10 minutes, son cœur ne battait toujours pas. J'ai fermé ses paupières pour me dire que c’est fini et j'ai fait un gros bisou sur son front pour lui dire au revoir. Je m’étais arrangé pour qu’il n’y ait aucun client dans la clinique. Il n'a pas souffert de cette maladie mais juste de la gêne. PILGRIM nous a quittés sans souffrance, sans douleur, sans stress, sans angoisse. Dans les dernières semaines, la maison avait été complètement aménagée au sol et l’escalier pour faciliter son déplacement. Le dernier contrôle vétérinaire datait du 13 mars et il était en pleine forme. Quelques jours plus tard, j’ai constaté des soucis avec une chute dans les escaliers et une perte occasionnelle de son train arrière indiquant des symptômes trompeurs d’une arthrite aiguë. Son état de santé s’est ensuite très vite dégradé par un mauvais traitement mais sans douleur ni souffrance.
PILGRIM a vécu ses derniers jours, avec soin, toilettage, nourriture, couchage, et sortie adaptée. La tribu a suivi PILGRIM jusqu'à son dernier souffle dans le plus grand respect.
PILGRIM était un grand chien par son intelligence et ses compétences. Il sera très difficile de le remplacer. Il va falloir désormais préparer l'après PILGRIM, seul conducteur et régulateur de la tribu à ce jour. GARRINCHA de la tribu et compagne de PILGRIM a eu de la peine pendant 10 jours. Elle sort peu à peu de son chagrin.
MOZART malgré sa jeunesse, présente des qualités naturelles à 5 mois pour prendre sa place.
L’éleveur.
PILGRIM s'est éteint lundi 15 mai 2017 à 11h30 par nécessité médicale dans mes bras en lui faisant croire à un contrôle vétérinaire banal. Me situant derrière lui pour le tenir, sa tête à basculé doucement sur mon bras gauche. J’ai attendu que ses yeux soient révulsés et au bout de 10 minutes, son cœur ne battait toujours pas. J'ai fermé ses paupières pour me dire que c’est fini et j'ai fait un gros bisou sur son front pour lui dire au revoir. Je m’étais arrangé pour qu’il n’y ait aucun client dans la clinique. Il n'a pas souffert de cette maladie mais juste de la gêne. PILGRIM nous a quittés sans souffrance, sans douleur, sans stress, sans angoisse. Dans les dernières semaines, la maison avait été complètement aménagée au sol et l’escalier pour faciliter son déplacement. Le dernier contrôle vétérinaire datait du 13 mars et il était en pleine forme. Quelques jours plus tard, j’ai constaté des soucis avec une chute dans les escaliers et une perte occasionnelle de son train arrière indiquant des symptômes trompeurs d’une arthrite aiguë. Son état de santé s’est ensuite très vite dégradé par un mauvais traitement mais sans douleur ni souffrance.
PILGRIM a vécu ses derniers jours, avec soin, toilettage, nourriture, couchage, et sortie adaptée. La tribu a suivi PILGRIM jusqu'à son dernier souffle dans le plus grand respect.
PILGRIM était un grand chien par son intelligence et ses compétences. Il sera très difficile de le remplacer. Il va falloir désormais préparer l'après PILGRIM, seul conducteur et régulateur de la tribu à ce jour. GARRINCHA de la tribu et compagne de PILGRIM a eu de la peine pendant 10 jours. Elle sort peu à peu de son chagrin.
MOZART malgré sa jeunesse, présente des qualités naturelles à 5 mois pour prendre sa place.
L’éleveur.