Ce fut donc mon premier Picard, toujours présent à coté de moi. Il ne ma pas facilité la tâche à son arrivé avec des voisins peu envieux de me voir avec ce nouvel arrivant. Ce fut de même avec la cohabitation de mes juments sans compter les clôtures à chevaux non prévu pour recevoir un bébé chien !!!
Garrincha à découvert Pilgrim, et depuis, c’est la fin du monde sans Pilgrim, le grand frère !
Pilgrim et Garrincha font maintenant de l’attelage canin ensemble en dehors d’un club, ils sont très connus pour leur sympathie et leur bonne humeur.
Son succès au travail et l'émerveillement des gens la fait grimper dans les médias.
Garrincha ne fera qu’une seule portée par an à partir de son 24ième mois pour ne faire que quelques portées dans sa vie. Le but n’est pas de la mettre en batterie ou se faire de l'argent mais de maintenir cette race peu répandu par sa qualité de vie et de sa grande intelligence.
GARRINCHA a fait une deuxième portée mais par souci de tranquillité, je n’ai pas gardé de chiot. J’avais réussi le mariage parfait avec un autre mâle car je n’en possède pas et j’ai préféré fournir de bons chiots aux clients.
la troisième portée sera déterminante par la perte de cette portée et l’utérus à cause du vétérinaire de garde ne voulant pas intervenir un dimanche.
Ma colère sur tous ces incidents n’est pas descriptible et certaines personnes fort en gueule (toujours les mêmes en relation avec cette race), avaient décidés d’en rajouter encore une couche publiquement pour soi-disant maltraitance sur mes animaux.
J’ai pris ma décision de ne pas continuer l’élevage avec cette race. j’ai un métier autre qu’éleveur et je suis aussi enregistré comme animateur animalier spectacle de rue. J’ai décidé de continuer ma section attelage et d’adopter un Berger picard Bringé pour équilibrer les âges. J’ai à nouveau essuyé un échec d’adoption avec ces mêmes personnes qui gèrent cette race sous prétexte que je ne suis pas une vraie famille pour le Berger picard.
Dans la vie, il faut savoir perdre la face et accepter l’échec sur une race que je considère comme mal gérée par des personnes élues par vote, copinage et non par professionnalisme au profit d’obtenir des résultats pour leurs copains. Ma décision est prise de me dépolluer de cette race avec tristesse, n’arrivant pas à pardonner toutes ces trahisons et accusations calomnieuses depuis 2013 commencé dès la première saillie avec un mâle extérieur à notre élevage. Il faut savoir arrêter lorsque quelque chose ne va pas. Le club de race dans leur journal, mentionne que cette race est de qualité moyenne, et dans le journal de 30 millions d’amis, que cette race était destinée désormais vers un chien d’agrément à la place d’un vrai chien de travail, par lequel, il aurait perdu ses aptitudes naturelles.
INOUK et ISALINE sont revenus à la maison parce que l’adoptant n’a pas compris qu’il fallait du temps à leur consacrer et qu’il fallait un budget financier pour eux. Une nouvelle famille s’est aussi déplacé mais elle a pris peur face à des caractères difficiles bien trempés du Berger picard.
À ce jour, je n’ai pas trouvé une famille, capable de les écouter et de s’en occuper correctement. J’ai fini par trouver la sérénité en quittant tout ce qui était sujet à critique et merci à toutes les personnes qui m’ont soutenu dans ces moments difficiles. J’ai vécu une véritable aventure dans le PICARDLAND avec PILGRIM et GARRINCHA mais j’étais dans le devant de la scène. J’ai voulu y retourner sous ce chapiteau mais cette fois-ci, j’ai voyagé dans les coulisses du PICARDLAND. Je n’ai malheureusement rencontré que de la méchanceté, la malhonnêteté, la corruption, la tricherie génétique, la magouille dans les concours. J’étais aveuglé par la fascination pour cette race et je me suis rapproché trop près de cette piste aux étoiles entaché par la corruption. Il est temps désormais de rentrer à la maison avec des regrets et d’aller chercher notre nouvelle recrue ce vendredi 24 février 2017 : MOZART WOLF AMADEUS.
LE MOT DE LA FIN